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dc.contributor.advisorMoutinho, Luiz Damon Santos, 1964-pt_BR
dc.contributor.otherUniversidade Federal do Paraná. Setor de Ciências Humanas. Programa de Pós-Graduação em Filosofiapt_BR
dc.creatorScarpa, Mariana Cabral Tomzhinskypt_BR
dc.date.accessioned2024-12-19T17:32:46Z
dc.date.available2024-12-19T17:32:46Z
dc.date.issued2012pt_BR
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1884/27345
dc.descriptionOrientador: Prof. Dr. Luiz Damon Santos Moutinhopt_BR
dc.descriptionDissertação (mestrado) - Universidade Federal do Paraná, Setor de Ciências Humanas, Letras e Artes, Programa de Pós-Graduação em Filosofia. Defesa: Curitiba, 02/03/2012pt_BR
dc.descriptionBibliografia: fls. 113-117pt_BR
dc.descriptionÁrea de concentração: História da filosofia moderna e contemporâneapt_BR
dc.description.abstractResumo:Para delinear a gênese do simbólico em Merleau-Ponty, percorremos em suas obras iniciais, A estrutura do comportamento e Fenomenologia da percepção, os elementos que apontam para o surgimento desta ordem e suas implicações na filosofia do autor. Primeiramente, compreendendo a divisão realizada pelo filósofo francês em três grandes estruturas, a física, a vital e a humana, bem como o envolvimento destas ordens com o plano do simbólico. A partir daqui, a presente leitura diverge de alguns comentadores no que tange a abrangência deste novo campo, pois o simbólico para uns, é exclusivo do humano, quando no próprio Merleau-Ponty ele se inicia no plano da adaptação (instrumental) do animal ao seu meio. Assim, veremos a diferença existente entre o campo simbólico que se abre ao animal e o que torna possível ao humano uma multiplicidade perspectiva. Tal ganho humano será realizado não por uma consciência constituinte do mundo, ele virá como movimento do corpo em direção a um mundo que ele nunca abarca, mas que ele não deixa de vivenciar. Num segundo momento, carece entender o papel que o corpo ocupa na filosofia de Merleau-Ponty e contra que perspectivas ele surge. Tendo em vista a necessidade do autor de superar a dicotomia clássica entre sujeito e objeto, signo e significação, alma e corpo; o corpo assumirá o privilégio de ser o sujeito da percepção, o veículo do ser no mundo. Desta forma, o corpo deve possibilitar a imbricação destas esferas antes opostas, ele deve permitir a assunção paradoxal do ser "para-nós" e "em-si", se expressando como corpo simbólico. Mas será justamente no retorno à experiência primordial de expressão, neste movimento de abertura para o novo, que uma certa "polarização" é requerida para que se dê o nascimento do sentido, e esta abertura será exposta por Merleau-Ponty como "não-ser". Neste momento a Fenomenologia da percepção pode ser levada a um impasse, pois a postulação de um não-ser instaura uma dupla interpretação no discurso merleaupontiano. De um lado, podemos compreendê-la como inerente ao movimento de expressão criadora, pois para que o novo se engendre é preciso manter uma distância que não seja reconhecida como completa exterioridade e nem mesmo como suporte interior; desta forma, o não-ser seria entendido como uma abertura necessária no âmbito da própria temporalidade, sendo aquilo que impede a expressão de se fixar totalmente, possibilitando o surgimento de significações autênticas. Por outro lado, tal postulação pode ser entendida como reveladora de um impensado em Merleau-Ponty. Como se esta postulação reabrisse o dualismo por meio de um resquício de idealismo que exige ainda a presença de um si indeclinável, uma vez que este não-ser seria compreendido ainda como uma interioridade por meio da qual a experiência é organizada. Por fim, ao tentarmos compreender o movimento temporal, fundamento de todas as descrições merleau-pontianas, é que poderemos entender qual é o sentido que o filósofo confere a esta noção de não-ser (ou de vazio, por oposição a um ser pleno), tendo em vista o projeto de uma fenomenologia da percepção. E com isso, poderemos descobrir se há realmente criação na Fenomenologia da Percepção de Merleau-Ponty ou se tudo já está dado de antemão.pt_BR
dc.description.abstractAbstract: Pour délimiter la genèse du symbolique chez Merleau-Ponty, nous passons par ses premières oeuvres, La structure du comportement et la Phénoménologie de la perception, les éléments indiquant l'émergence de cet ordre et ses implications dans la philosophie de l'auteur. Tout d'abord, comprenant la division faite par le philosophe français dans trois grandes structures: la physique, la vitale et l’humaine ainsi que l'implication de ces commandes avec le plan symbolique. A partir d’ici, cette lecture diffère de certains commentateurs quant à la portée de ce nouveau champ, car le symbolique pour quelquesuns, c’est une exclusivité de l’humain, et chez Merleau-Ponty lui-même, il commence dans le plan de l’adaptation (instrumentale) de l'animal à son milieu. Ainsi, on vera la différence entre le champ symbolique qui s’ouvre à l'animal et ce qui rend possible à l’humain une multiplicité perspective. Le gain humain ne sera pas réalisé par une conscience constitutive du monde, il viendra comme le mouvement du corps vers un monde qu'il ne saisie jamais, mais qu’il ne cesse pas de vivre. Deuxièmement, il est nécessaire pour comprendre le rôle que le corps joue dans la philosophie de Merleau-Ponty et les perspectives contre lesquelles il se pose. Étant donné le besoin de l'auteur à surmonter la dichotomie classique entre sujet et objet, signe et signification, l'âme et le corps; le corps aura le privilège d'être le sujet de la perception, le véhicule de l’être au monde. Ainsi, le corps doit permettre le chevauchement de ces sphères auparavant opposés, il doit permettre l'ascension paradoxale d'être «pour-nous» et «en soi», s'exprimant en tant que corps symbolique. Mais c'est précisément le retour à l'expérience primordiale d'expression, ce mouvement d'ouverture du nouveau, qu'une certaine "polarisation" est nécessaire afin de prendre la naissance du sens, et cette ouverture sera exposée par Merleau-Ponty comme «non-être ». A cette époque la Phénoménologie de la perception peut être amené à une impasse, car la postulation d'un non-être établit une double interprétation dans le discours merleaupontien. D'une part, nous pouvons le comprendre comme inhérent au mouvement de l'expression créatrice, car pour que le nouveau se forme, il est nécessaire de maintenir une distance qui n'est pas reconnue comme extériorité complète et ni même support intérieur, de cette façon, le non-être serait compris comme une ouverture nécessaire dans la temporalité, et qui empêche l'expression de se fixer totalement, ce qui permet l'émergence de significations authentiques. D'autre part, cette postulatation peut être comprise comme une indication d'une impensé de Merleau-Ponty. Comme si cette postulation reouvrait le dualisme à travers une trace d’idéalisme qui exige également la présence d'un Soi indéclinable, une fois que ce non-être serait compris comme une interiorité par laquelle l’expreience est organisée. Enfin, en essayant de comprendre le mouvement temporel, le fondement de toutes les descriptions de Merleau-Ponty, on peut comprendre le sens que le philosophe donne à cette notion de nonêtre (ou vide, par opposition à un être plein) en vue du projet d'une phénoménologie de la perception. Et avec cela, nous pouvons savoir s’il y a vraiment de création dans la Phénoménologie de la perception de Merleau-Ponty, ou si tout est donné à l'avance.pt_BR
dc.description.abstractResumé: Pour délimiter la genèse du symbolique chez Merleau-Ponty, nous passons par ses premières œuvres, La structure du comportement et la Phénoménologie de la perception, les éléments indiquant l'émergence de cet ordre et ses implications dans la philosophie de l'auteur. Tout d'abord, comprenant la division faite par le philosophe français dans trois grandes structures: la physique, la vitale et l'humaine ainsi que l'implication de ces commandes avec le plan symbolique. A partir d'ici, cette lecture diffère de certains commentateurs quant à la portée de ce nouveau champ, car le symbolique pour quelquesuns, c'est une exclusivité de l'humain, et chez Merleau-Ponty lui-même, il commence dans le plan de l'adaptation (instrumentale) de l'animal à son milieu. Ainsi, on vera la différence entre le champ symbolique qui s'ouvre à l'animal et ce qui rend possible à l'humain une multiplicité perspective. Le gain humain ne sera pas réalisé par une conscience constitutive du monde, il viendra comme le mouvement du corps vers un monde qu'il ne saisie jamais, mais qu'il ne cesse pas de vivre. Deuxièmement, il est nécessaire pour comprendre le rôle que le corps joue dans la philosophie de Merleau-Ponty et les perspectives contre lesquelles il se pose. Étant donné le besoin de l'auteur à surmonter la dichotomie classique entre sujet et objet, signe et signification, l'âme et le corps; le corps aura le privilège d'être le sujet de la perception, le véhicule de l'être au monde. Ainsi, le corps doit permettre le chevauchement de ces sphères auparavant opposés, il doit permettre l'ascension paradoxale d'être "pour-nous" et "en soi", s'exprimant en tant que corps symbolique. Mais c'est précisément le retour à l'expérience primordiale d'expression, ce mouvement d'ouverture du nouveau, qu'une certaine "polarisation" est nécessaire afin de prendre la naissance du sens, et cette ouverture sera exposée par Merleau-Ponty comme "non-être ". A cette époque la Phénoménologie de la perception peut être amené à une impasse, car la postulation d'un non-être établit une double interprétation dans le discours merleaupontien. D'une part, nous pouvons le comprendre comme inhérent au mouvement de l'expression créatrice, car pour que le nouveau se forme, il est nécessaire de maintenir une distance qui n'est pas reconnue comme extériorité complète et ni même support intérieur, de cette façon, le non-être serait compris comme une ouverture nécessaire dans la temporalité, et qui empêche l'expression de se fixer totalement, ce qui permet l'émergence de significations authentiques. D'autre part, cette postulatation peut être comprise comme une indication d'une impensé de Merleau-Ponty. Comme si cette postulation reouvrait le dualisme à travers une trace d'idéalisme qui exige également la présence d'un Soi indéclinable, une fois que ce non-être serait compris comme une interiorité par laquelle l'expreience est organisée. Enfin, en essayant de comprendre le mouvement temporel, le fondement de toutes les descriptions de Merleau-Ponty, on peut comprendre le sens que le philosophe donne à cette notion de nonêtre (ou vide, par opposition à un être plein) en vue du projet d'une phénoménologie de la perception. Et avec cela, nous pouvons savoir s'il y a vraiment de création dans la Phénoménologie de la perception de Merleau-Ponty, ou si tout est donné à l'avance.pt_BR
dc.format.extent118f. : grafs.pt_BR
dc.format.mimetypeapplication/pdfpt_BR
dc.languagePortuguêspt_BR
dc.relationDisponível em formato digitalpt_BR
dc.subjectMerleau-Ponty, Maurice, 1908-1961 - Crítica e interpretaçãopt_BR
dc.subjectTesespt_BR
dc.subjectFenomenologiapt_BR
dc.subjectSimbolismopt_BR
dc.subjectLinguagem - Filosofiapt_BR
dc.subjectFilosofiapt_BR
dc.titleO não-ser e o simbólico nas primeiras obras de Merleau-Pontypt_BR
dc.typeDissertaçãopt_BR


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